Samedi 9 juin 2007
Au premier abord, quand je suis arrivée ici, tout semblait calme, propre et rangé …
Des parents aidant leurs enfants à faire leurs devoirs …
Des enfants jouant joyeusement ensemble …
Et puis, l’orage a éclaté ! Oh joie, oh bonheur indicible !
Je croaaa que Wadia et Walter sont de véritables trésors pour une grenouille comme moi. Des amis chers en perspective .
Je me sens zen ici. Un peu comme chez moi !
Ils se précipitent dès qu’une flaque d’eau apparaît et rient aux éclats tant et plus.
Quel bonheur lorsqu’ils prennent une douche (tout comme leur père d’ailleurs ), il y a de l’eau partout ! Je croaaa bien que je vais les adorer !
Et bonheur suprême … si ils doivent enlever cette eau de leur environnement, ils n’aiment pas ça du tout !
Et ils ont bien raison.
Comme elle me plait Wadia à revendiquer la présence rassurante d’une douce et belle humidité en ce si joli lieu .
Tout comme son jumeau Walter.
Admirez l’expression offusquée à souhait qui illumine son visage de si merveilleuse façon !
Alors qu’il vient de se laver et d’éclabousser partout, après avoir partagé une partie endiablée et bruyante de « gendarmes et voleurs » avec son amie Emmanuelle.
Croaaa, croaaa, croaaa !
Dans la famille crado, je demande le père.
On se croirait presque chez les Pasher !
Mais il y en a une à qui ça n’a pas l’air de convenir, c’est Wendy. Elle devrait être contente de voir ses chers enfants ressembler autant à leur géniteur, non ?
Mais il est où d’ailleurs Thierry ?
Encore en train de sauter dans une flaque comme ses enfants ?
On dirait qu’il a disparu et que ses enfants et son épouse se sont soudainement inquiétés.
Pas très longtemps en ce qui concerne Wadia et Walter . Croaaa, croaaa, croaaa !
Comme ils m’ont fait peur tout de même ce soir-là ! J’ai même cru que quelque chose de surnaturel venait de se produire !
Et je l’ai revu Thierry, peu de temps après ce simili affolement familial. Il n’avait pas l’air dans son assiette, je croaaa.
Et sa fana de ménage de femme, passait sans cesse derrière pour nettoyer.
Quand elle ne réparait pas les appareils cassés par les enfants.